lundi 15 septembre 2008

Des pesos, des lingos

Nan mais sans déconner.
Qu'est-ce qu'ils croient les lyonnais ? Après 27 ans, ils ont toujours pas compris que le monde tourne autour de moi ? J'vais devoir les rappeler.

"Olivier ?
- Ouais, salut, ça va ?
- Bien et toi ? Prêt pour le match de mercredi ? (ndlr : OL-Fiorentina, la reprise de la C1)
- Ouais, t'appelles pour la moto ? (ça a l'air tendu comme ça, mais c'est parce que c'est écrit, sinon, y'a aucun soucis)
- Ben oui, je me rappelle plus si on avait dit que c'est toi qui appelle ton père ou si c'est moi. (aussi étrange que cela pourrait vous paraître, c'est la stricte vérité.)
- Ben écoute t'as qu'à l'appeler, il sera content, tiens, ils sont en vacances, je te donne leur numéro.
- Merci, à plus."

"Allo ?
- Madame F. ?
- Oui
- Bonjour, c'est votre neveu. Comment vas-tu ?
- Tiens quelle surprise !!! (belote) C'est rare de t'avoir au téléphone ? Que pouvons-nous pour toi... ?
(ndlr : Ok, j'suis un sale gosse, je prends rarement voir jamais de nouvelle des gens. Dans une classification moderne, on me collerai l'étiquette d'arriviste, mais je préfère me considérer comme un connard.)
- Euh, en fait, j'aurais voulu parler à mon parrain.
- Pas de soucis, je te le passe. -- Allo ?
- Bonjour parrain.
- Tiens que nous vaut l'honneur (rebelotte)
- Je t'appelle parceque blablabla moto blablabla papi blablabla restaurer blabla ton fils et toi.
- Ben, j'ai commencé à me renseigner pour la vendre, mais je sais pas, c'est vrai que si elle reste dans la famille c'est bien mais tu t'en sens capable ? (arf)
- Ecoute, oui, puis je le saurais jamais si je me lance pas, mais j'ai pas pour ambition de la laisser crever dans le garage de papa (et c'est vrai en plus), mais je te laisse réfléchir, sache juste que moi, ça m'intéresse énormément, plutot qu'en acheter une d'un illustre inconnu.
- Ok, ben je vais réfléchir"

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